Au cours des cinq dernières décennies, l’agroécologie a remis en question l’idée selon laquelle il suffirait d’améliorer la production afin de garantir la sécurité alimentaire, la santé et le bien-être des populations.
Les systèmes alimentaires actuels ne peuvent pas répondre aux besoins de millions de personnes qui souffrent de la faim, de carences en micronutriments essentiels, ou de maladies chroniques liées à l’alimentation, et qui sont très vulnérables aux facteurs de stress environnementaux.