Résultats de recherche

La pandémie de COVID-19 a provoqué des changements radicaux sur les marchés, chez les consommatrices et les consommateurs et dans les chaînes d’approvisionnement, et a eu des répercussions particulières sur les petites et microentreprises.

Les nouveaux défis mondiaux en matière de santé publique, comme la pandémie de COVID-19 et les crises climatiques extrêmes, ont fait des interventions relatives aux situations d’urgence et de la reprise un domaine urgent de pratique et de recherche dans le monde entier.

Les personnes réfugiées sont généralement exposées à des taux élevés de pauvreté et d’insécurité alimentaire et la pandémie de COVID-19 n’a fait qu’exacerber les multiples crises auxquelles sont confrontées ces personnes.

Cette recherche-action vise à établir les conditions d’une efficacité des approches d’autonomisation juridique pour améliorer l’inclusion et la participation des femmes rurales dans les actions de lutte contre les effets des changements climatiques dans le but de protéger leurs moyens de subsistance dans des contextes très conservateurs.

L’Afrique du Nord connaît une crise du déplacement forcé, avec un total de 16 millions de personnes déplacées de force et apatrides à la fin de 2021 (HCR, 2022).

Le paysage politique et numérique en Amérique latine a considérablement changé au cours des dix dernières années.

L’Afrique de l’Ouest a connu des niveaux croissants de conflits, de violence politique, de prolifération de groupes armés et d’événements climatiques extrêmes qui ont mis en danger la vie de millions de personnes qui risquent d’être obligées de se déplacer davantage dans la région.

Les répercussions des changements climatiques sont et seront subies de manière disproportionnée par les populations marginalisées et vulnérables.

Les voix des femmes et des personnes de genre différent sont réduites au silence par le harcèlement et les attaques ciblées en ligne dans le monde entier.

Les communautés historiquement marginalisées d’Amérique latine sont les plus susceptibles d’être touchées par les dommages environnementaux et le changement climatique.

Alors même que la désinformation (élaboration et partage de fausses informations) est un problème répandu et croissant dans les pays du Sud, l’étude du phénomène est dominée par les études de cas, les recherches et les modèles des pays du Nord.

Bien que la majorité des personnes déplacées de force vivent dans les pays du Sud, la plupart des recherches qui influent sur les politiques et les pratiques est réalisée par des chercheurs des pays du Nord.

La prise de pouvoir des Talibans en Afghanistan en août 2021, avec le retrait de la présence militaire internationale, a engendré un désastre humanitaire et politique qui risque de durer des années.

Les répercussions de la pandémie de COVID-19 sur la santé sont désormais apparentes dans les pays en développement, tout comme les répercussions sociales, économiques et politiques, et la possibilité qu’elles ont d’accroître les inégalités, d’aggraver la pauvreté, de générer de l’insécurité, de miner la gouvernance et de laisser des effets durables sur les capacités à atteindre les objectifs de développement durable.

Quelque 79,5 millions de personnes dans le monde sont déplacées de force en raison de persécutions, de conflits, de violences, de violations des droits de la personne, de difficultés économiques, des changements climatiques et de situations prolongées de fragilité politique.

La région de l’Afrique de l’Est accueille le plus grand nombre de réfugiés sur le continent africain.

L’apprentissage et la communication stratégiques pour le développement constituent un défi et exigent de l’agilité et une réflexion prospective.

La chute du gouvernement en Afghanistan en août 2021, avec le retrait de la présence militaire internationale, a engendré un désastre humanitaire et politique qui risque de durer des années.

Quelque 79,5 millions de personnes de par le monde sont déplacées de force en raison de persécutions, de conflits, de violences, de violations des droits de la personne, de difficultés économiques, de changements climatiques et de situations d’instabilité politique prolongées.

Quelque 79,5 millions de personnes dans le monde sont déplacées de force en raison de persécutions, de conflits, de violences, de violations des droits de la personne, de difficultés économiques, de changements climatiques et de situations d’instabilité politique prolongées.

En Afrique de l’Est, le parajuridisme et l’accès à la justice sont un domaine et une pratique en pleine évolution.

Le recours aux arrestations arbitraires visant les communautés vulnérables et pauvres constitue une violation des droits de la personne.

Au cours de la dernière décennie, les investissements étrangers dans les terres et l'agriculture (à des fins d'exploitation minière, d'exploitation forestière, d'infrastructures, d'industries agroalimentaires et de conservation) ont augmenté dans le monde, le continent de l'Afrique faisant l'objet d'une attention particulière.