La pisciculture pour améliorer les moyens de subsistance en Bolivie
Source importante de protéines, d’oligo-éléments et d’acides gras, le poisson peut permettre d’améliorer grandement la sécurité alimentaire et les moyens de subsistance en milieu rural. Pays sans accès maritime, la Bolivie possède l’un des taux de consommation de poisson les plus faibles au monde malgré le potentiel élevé des pêches et de la pisciculture dans l’Amazone.
En 2013, le gouvernement bolivien a créé le programme national pour les pêches et l’aquaculture afin d’accroître la consommation de poisson et de développer le potentiel que présentent les pêches et l’aquaculture.
De 2011 à 2014, l’alliance « Peces para la Vida » a évalué l’éventuelle contribution des pêches et de l’aquaculture à la sécurité alimentaire, a recommandé des pratiques exemplaires, a mis en oeuvre des projets pilotes et a proposé des stratégies de développement pour les pêches et l’aquaculture.
Consultez les recommandations : Pêches, aquaculture et bien vivre en Bolivie : contributions à la sécurité alimentaire (PDF, 302 Ko)
La pesca, la acuicultura y el vivir bien en Bolivia: contribuciones para la seguridad alimentaria (PDF en espagnol, 287 Ko)
Il s'agit de l'une des fiches de la collection Recherche et changement, qui présente certaines des incidences que l'on commence à constater dans la foulée des projets qu'a subventionnés en Amérique latine et dans les Caraïbes le Fonds canadien de recherche sur la sécurité alimentaire internationale (FCRSAI).Bénéficiant du soutien financier du gouvernement du Canada par l'intermédiaire d'Affaires mondiales Canada (AMC), le FCRSAI est un programme du Centre de recherches pour le développement international (CRDI), un organisme canadien.