La nourriture pour la vie : aider les agricultrices des Andes à mettre en place une agriculture régénératrice pour améliorer la santé et l’équité soci
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La technologie industrielle, le développement axé sur le marché et la modernisation de l’agroalimentaire en Équateur ont éloigné les agricultrices et agriculteurs des Andes de leur environnement et de la société en général.En savoir plus
La technologie industrielle, le développement axé sur le marché et la modernisation de l’agroalimentaire en Équateur ont éloigné les agricultrices et agriculteurs des Andes de leur environnement et de la société en général. Cela porte atteinte aux relations sociales et à la fonctionnalité des écosystèmes des hauts plateaux, qui permet de maintenir la vie. L’effondrement sociobiologique qui en résulte remet en question la santé, le bien-être et l’avenir des populations.
Ce projet cherche à aider les agricultrices et agriculteurs des Andes, pauvres en ressources, à passer à des systèmes alimentaires régénératifs plus sains et davantage productifs. Il soutient un groupe pionnier de femmes et de jeunes issus de mouvements d’agroécologie afin de renforcer les systèmes alimentaires en utilisant les connaissances portant sur la microbiologie des sols et le biome. Ce projet leur permettra de mettre des éléments négligés ou sous-utilisés au service d’une plus grande sécurité alimentaire, de l’économie et de l’atténuation des changements climatiques. Les liens étroits avec les organismes autochtones et les mouvements agroalimentaires du pays aideront les personnes participantes à informer continuellement les interventions en matière de plaidoyer et de politique dans leurs communautés, leurs réseaux sociaux et le gouvernement.
Ce projet aidera les populations des Andes à vérifier et à ouvrir des voies pour réhabiliter les écologies et restaurer les écosystèmes. Il s’agit notamment de renforcer la sécurité alimentaire des populations très vulnérables en luttant contre la dégradation des sols et en améliorant la productivité agricole. Il s’agit également de s’adapter à la variabilité du climat en renforçant le fonctionnement biologique des sols et d’atténuer les changements climatiques par l’accumulation de carbone dans les exploitations.