IA au service de la santé mondiale (IASM) : IA réactive et responsable pour l’amélioration de la santé sexuelle et reproductive en Asie du Sud
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Région la plus peuplée du monde, l’Asie du Sud présente également des taux de grossesses non planifiées, de décès maternels, d’avortements à risque, de mariages d’enfants et de violences sexuelles parmi les plus élevés du monde.En savoir plus
Région la plus peuplée du monde, l’Asie du Sud présente également des taux de grossesses non planifiées, de décès maternels, d’avortements à risque, de mariages d’enfants et de violences sexuelles parmi les plus élevés du monde. Il existe également une inadéquation entre l’offre et la demande de services de santé sexuelle, reproductive et maternelle (SSRM).
Les outils d’intelligence artificielle (IA) sont extrêmement prometteurs pour améliorer la prise de décision publique, accroître la productivité et surmonter les contraintes liées aux ressources humaines dans le domaine de la santé publique. Cependant, l’utilisation de ces outils comporte des risques, notamment pour les groupes vulnérables, sous la forme de préjugés découlant des données et des modèles utilisés et des décisions qu’ils peuvent entraîner. Ce projet vise à créer un réseau de recherche intitulé « Artificial Intelligence for Sexual and Reproductive Health for South Asia » (AI-SAROSH, qui se traduit par « Oh Angel » en farsi) afin de déterminer, de soutenir et d’encourager l’apprentissage croisé entre les initiatives multidisciplinaires ciblant les questions clés de la SSRM et utilisant l’IA de manière éthique, fondée sur les droits et inclusive. Les résultats attendus comprennent une meilleure compréhension des besoins, des agents et des voies de solutions, le renforcement des écosystèmes nationaux d’innovation en matière d’IA dans le domaine de la SSRM, et l’introduction de connaissances exploitables dans les canaux politiques et pratiques, ce qui permettra d’améliorer les résultats dans le domaine de la SSRM en Asie du Sud.
Le réseau sera géré par un consortium entre PHC Global, une société privée à responsabilité limitée du Pakistan, et la Fondation GTA, une organisation à but non lucratif basée au Népal. Le projet fait partie d’un investissement collaboratif de 15,5 millions de dollars canadiens dans l’initiative Intelligence artificielle au service de la santé mondiale (IASM).