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Appel de propositions pour soutenir les organismes subventionnaires de la recherche scientifique de l’Afrique dans l’élaboration de cadres politiques et de structures habilitantes pour les partenariats public privé

Logo de IOSRS
L’Initiative des organismes subventionnaires de la recherche scientifique (IOSRS) lance un appel de propositions pour aider les conseils à mettre en œuvre des cadres stratégiques pour promouvoir les partenariats public-privé.

1. Résumé

L’Initiative des organismes subventionnaires de la recherche scientifique (IOSRS) en Afrique subsaharienne sollicite des propositions de projets d’organisations (y compris des groupes de réflexion, des instituts, des universités et des agences) ayant une expérience et des antécédents avérés pour aider les conseils à élaborer des cadres politiques et des structures habilitantes pour les partenariats avec le secteur privé. Grâce à un nouveau partenariat avec I’Initiative des organismes subventionnaires de la recherche scientifique, le Foreign, Commonwealth and Development Office du Royaume-Uni et le CRDI, un financement pouvant atteindre 1 200 000 $ CA sera disponible pour ce travail sur une période d’environ 34 mois. Le CRDI conclura une entente avec l’organisme retenu.

Les candidats doivent utiliser les renseignements suivants uniquement comme guide dans l’élaboration de leurs propositions. Les propositions ne doivent pas nécessairement se limiter aux points décrits ci‑dessous et l’originalité et la créativité seront parmi les principaux critères d’évaluation.

2. L’Initiative des organismes subventionnaires de la recherche scientifique en Afrique subsaharienne

Les organismes subventionnaires de la recherche scientifique (OSRS) (et les organismes connexes tels que les commissions et les fonds) remplissent des fonctions cruciales qui contribuent au fonctionnement efficace et efficient des systèmes scientifiques nationaux. Ces fonctions varient d’un pays à l’autre, mais comprennent les suivantes : décaissement de subventions pour la recherche, le développement et l’innovation, renforcement des capacités de recherche par le biais de bourses et de bourses, définition et suivi des programmes et des priorités de recherche, délivrance de permis de recherche, formulation et révision de la science, de la technologie et les politiques d’innovation (STI), la fourniture de conseils stratégiques aux gouvernements, la gestion des accords bilatéraux et multilatéraux en matière de STI et le suivi et l’évaluation des impacts de la recherche financée par des fonds publics et d’autres sources.

Encadré 1 : Pays participants à IOSRS

Botswana, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Éthiopie, Ghana, Kenya, Malawi, Mozambique, Namibie, Nigéria, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Ouganda, Zambie et Zimbabwe

L’IOSRS a été soutenu par plusieurs bailleurs de fonds depuis 2015, à savoir le Foreign, Commonwealth and Development Office du Royaume-Uni, le CRDI, le National Research Fund de l’Afrique du Sud, l’Agence suédoise de coopération au développement international, la Fondation allemande pour la recherche et plus récemment l’Agence norvégienne de coopération au développement. L’Initiative a été axée sur le renforcement des capacités des conseils à soutenir la recherche et les politiques fondées sur des données probantes qui peuvent contribuer au développement économique et social. Les conseils de 15 pays (encadré 1) ont été activement impliqués dans l’Initiative. Le Nigéria a rejoint l’Initiative mi‑2021, portant le nombre total de conseils IOSRS à 16. Il existe une opportunité pour la Sierra Leone d’adhérer dans un proche avenir.

L’IOSRS s’est initialement concentré sur le renforcement de la capacité des communes à a) gérer la recherche; b) concevoir et suivre des programmes de recherche et formuler et mettre en œuvre des politiques fondées sur l’utilisation d’indicateurs de la STI; c) soutenir l’échange de connaissances avec le secteur privé; et d) établir des partenariats entre les conseils et avec d’autres acteurs du système scientifique. Dans sa deuxième phase actuelle (IOSRS-2), le travail avec les conseils dans ces domaines s’est approfondi et élargi, avec une attention supplémentaire à l’excellence de la recherche, à la communication stratégique et à l’adoption des résultats des connaissances, ainsi qu’à l’égalité des sexes et à l’inclusivité (encadré 2). Les conseils ont reçu des fonds pour gérer les appels de recherche et ont tiré parti de leurs capacités accrues pour promouvoir des projets de recherche en collaboration et le réseautage.

Encadré 2 : Thèmes de l’IOSRS-2

Thème 1 : Renforcer la capacité des organismes subventionnaires de la recherche scientifique dans la gestion de la recherche

Thème 2 : Renforcer la capacité des organismes subventionnaires de la recherche scientifique à utiliser les données et les preuves dans les politiques et la prise de décisions

Thème 3 : Soutenir la capacité des subventions aux sciences les conseils pour financer la recherche et l’innovation

Thème 4 : Soutenir les communications stratégiques, l’utilisation des connaissances et le réseautage

Thème 5 : Renforcer les capacités des organismes subventionnaires de la recherche scientifique en matière d’égalité des genres et d’inclusivité

3. Contexte

Les organismes de recherche (universités, instituts de recherche et groupes de réflexion) sont de plus en plus appelés à promouvoir l’innovation en renforçant les liens avec les acteurs du secteur privé. Ils sont censés produire des recherches qui répondent à la fois aux besoins de développement social et économique des pays et interagir plus étroitement avec les bénéficiaires visés par leur recherche. L’industrie s’est éloignée de la recherche et du développement internes, entraînant une demande accrue de collaborations entre la recherche et l’industrie (par exemple, sous la forme de partenariats public‑privé et d’initiatives d’innovation ouverte, entre autres).

De nombreuses universités et instituts de recherche africains ont réorganisé ou créé de nouvelles structures pour faire face à cette réalité. Ils ont établi des bureaux de transfert de technologie et des bureaux de gestion de la propriété intellectuelle; de nouveaux bureaux dans les structures de gestion universitaire; et de nouvelles entreprises sont rattachées aux universités. Au niveau national, un accent renouvelé est mis sur l’innovation à la fois dans les politiques et les instruments de financement gouvernementaux. En dehors du gouvernement, de nouvelles organisations intermédiaires qui favorisent les liens entre les universités et l’industrie ont vu le jour.

Encadré 3 : Études commandées

1) Construire une fabrication pharmaceutique locale compétitive et socialement inclusive en Afrique de l’Ouest en renforçant la recherche, l’innovation et la propriété intellectuelle

2) Santé et industrialisation : explorer le rôle des partenariats public-privé dans la construction de complexes compétitifs pour l’industrie de la santé en Afrique australe

3) Partenariats pharmaceutiques pour un accès accru à des médicaments essentiels de qualité dans la région de l’Afrique de l’Est

Promouvoir les liens et le partage de connaissances entre les organismes de recherche du secteur public et les acteurs du secteur privé est un objectif clé des travaux de l’IOSRS depuis sa création. Dans le cadre de la première phase de l’IOSRS, par exemple, un total de 11 projets impliquant des acteurs du secteur privé ont été soutenus en partenariat avec six organismes subventionnaires de la recherche scientifique (OSRS ou conseils). Certains de ces projets ont abouti à des produits pouvant être étendus ou commercialisés. Trois études commandées sur les partenariats public‑privé (encadré 3) ont donné lieu à des notes d’orientation et à des articles de revues. Les conseils ont reçu un soutien pour l’engagement avec le secteur privé par le biais d’une formation et d’un soutien technique, y compris l’élaboration de stratégies de communication et de plans d’action pour le secteur privé. Plusieurs ressources (y compris un manuel et une boîte à outils de formation ainsi qu’un guide pratique sur les médias sociaux) ont été développées pour que les conseils puissent les utiliser dans leur travail avec les acteurs du secteur privé.

L’accent mis sur la promotion des partenariats avec le secteur privé se poursuit dans la deuxième phase de l’IOSRS, notamment à travers des projets de recherche. À cet égard, 12 conseils soutiennent actuellement environ 42 projets impliquant des acteurs du secteur privé. Ces projets garantissent que les priorités des organismes de recherche sont alignées sur les besoins du secteur privé et améliorent leur compréhension de la façon de travailler avec les organismes de recherche publics, permettant ainsi la co‑conception, le cofinancement et la co-mise en œuvre de la recherche, le partage de connaissances et l’utilisation de la recherche constatations. De même, les fonds de transition ont aidé les conseils du Malawi, de l’Ouganda et de la Zambie à organiser des dialogues entre les parties prenantes et les politiques impliquant des acteurs clés, avec un accent particulier sur le secteur privé. Ces dialogues sur les politiques devraient déboucher sur des programmes et des priorités de recherche nationaux négociés.

Un exercice d’évaluation des besoins en 2016 avec les conseils a identifié le manque de cadres politiques et de structures habilitantes comme une contrainte majeure à la promotion des partenariats avec le secteur privé. Les conseils ont également identifié la commercialisation des résultats de la recherche comme un domaine hautement prioritaire pour eux. S’appuyant sur les travaux menés dans le cadre des deux phases de l’IOSRS, ce projet aidera les conseils à mettre en place les cadres politiques nécessaires à la promotion des partenariats public-privé. Il soutiendra également le pilotage de ces cadres, en tirera des enseignements et partagera des expériences avec d’autres conseils en fonction de leurs besoins et intérêts spécifiques. Ce projet pourrait s’appuyer sur les travaux antérieurs entrepris par le groupe de travail du Global Research Council sur le programme de recherche en partenariat, dans lequel les conseils ont partagé des leçons sur la manière de soutenir les engagements public-privé dans la recherche afin d’améliorer les perspectives d’innovation et de commercialisation des résultats de la recherche. En outre, une étude paysagère sur le « Transfert et commercialisation de technologies en Afrique » (en anglais) menée dans le cadre de l’IOSRS-1 a fourni plusieurs recommandations sur l’adoption et l’utilisation des résultats de la recherche qui pourraient servir de base à des interventions ciblées dans le cadre de ce projet. Comme pour tous les projets IOSRS, l’intégration du genre et de l’inclusivité est une priorité qui doit être prise en compte dans la mise en œuvre de ce projet.

Ce projet vise à faire avancer, consolider et approfondir les travaux décrits ci-dessus. Par exemple, dans les pays où des cadres d’engagement du secteur privé ont été développés, ce projet soutiendra leur opérationnalisation et leur pilotage. De même, les outils et les manuels développés dans le cadre de l’IOSRS seront testés et pilotés pour promouvoir leur adoption et leur utilisation.

4. But et objectifs du Pepin

Ce projet vise à aider les organismes subventionnaires de recherche scientifique à élaborer et à opérationnaliser des cadres politiques et des structures pour les partenariats avec le secteur privé et la commercialisation des résultats de la recherche. Les objectifs spécifiques pourraient inclure :

  1. Aider les conseils à élaborer et à opérationnaliser des cadres politiques et des stratégies connexes pour la recherche, l’innovation et la commercialisation. Alors que les cadres et les stratégies politiques de la propriété intellectuelle pourraient être priorisés, d’autres cadres connexes (par exemple, les cadres de recherche et les partenariats de collaboration) sont nécessaires pour opérationnaliser ces politiques et peuvent être inclus.
  2. Soutenir l’élaboration et la mise en œuvre de cadres d’engagement du secteur privé. Ce travail s’appuiera sur les travaux menés avec les conseils du Botswana et du Ghana dans le cadre de l’IOSRS-1 ainsi que sur les travaux en cours au Malawi, en Ouganda et en Zambie. Dans les cinq pays où des stratégies d’engagement ont été élaborées, le projet pourrait se concentrer sur leur opérationnalisation et leur pilotage. Les pays restants pourraient être aidés à élaborer de nouveaux cadres d’engagement par le biais de divers processus, notamment des dialogues avec les parties prenantes, des études de cas et l’élaboration d’une analyse de rentabilisation.
  3. Apporter un appui technique aux conseils mettant en œuvre des projets impliquant des partenariats avec le secteur privé. Certains projets de partenariat public-privé soutenus par les conseils ont généré des produits et des procédés ayant un potentiel de commercialisation. Une analyse pourrait être effectuée pour générer et partager des enseignements et un soutien technique pourrait être fourni pour résoudre les divers problèmes qui pourraient survenir.
  4. Développer et soutenir la mise en œuvre de divers outils (manuels, boîtes à outils, stratégies modèles et autres matériels) que les conseils et leurs partenaires pourraient utiliser pour renforcer les politiques et les structures connexes pour un engagement efficace du secteur privé et la commercialisation des résultats de la recherche.

5. Approche projet

Un appel de propositions ouvert sera utilisé pour sélectionner une organisation appropriée (ou un consortium d’organisations) pour mettre en œuvre ce projet. La formation et le soutien technique aux conseils pourraient impliquer un accompagnement personnalisé dans le pays (soutenu par des experts locaux lorsque cela est faisable et souhaité par les conseils), des cours et des ateliers de formation en personne et l’utilisation de plateformes en ligne. Ce projet devrait être mis en œuvre en étroite collaboration avec les autres composantes de l’IOSRS-2 de manière collaborative, notamment en termes d’égalité des genres et d’inclusivité et les projets sur la gestion de la recherche, les communications stratégiques, l’assimilation des connaissances et le réseautage. La proposition doit inclure une description détaillée de la façon dont l’approche de mise en œuvre du projet tiendra compte des circonstances uniques créées par la pandémie de COVID-19.

Le chercheur principal du projet, basé au sein de l’organisation chef de file, sera responsable de la gestion technique et financière du projet, des rapports et des autres obligations contractuelles.

6. Calendrier et budget

i)

Dates importantes

  

21 juillet 2022

Lancement de l’appel de propositions de projets

26 août 2022

Date limite de réception des propositions

16 septembre 2022

Le résultat du processus de sélection est communiqué à tous les candidats

ii) Le budget disponible pour ce projet est d’environ 1 200 000 $ CA (tout compris) sur environ 34 mois. Un projet de budget doit être soumis en utilisant le modèle du CRDI (Budget de proposition | CRDI – Centre de recherches pour le développement international). Le budget doit être dans la devise de fonctionnement de l’organisation (Convertisseur de devises | Taux de change | OANDA).

7. Procédure de soumission et date limite de soumission

Les propositions (25 pages ou moins, hors annexes) doivent être soumises par voie électronique au secrétariat de l’IOSRS (SGCSSA@idrc.caavant le 26 août 2022 (17 h, heure de l’Afrique de l’Est). Les propositions soumises après cette date limite ne seront pas acceptées. Toutes les questions concernant cet appel doivent être soumises au secrétariat avant le 29 juillet 2022. Les réponses seront publiées sur le site Web de l’IOSRS.

Les propositions doivent être soumises en anglais au format Word. Ils doivent être concis et inclure les éléments suivants (au minimum) :

  • titre, nom, adresse et contacts du chef de projet et nom et adresse de l’organisation candidate;
  • résumé;
  • contexte et justification du projet;
  • buts, objectifs spécifiques et activités clés. Ils doivent également démontrer des liens avec les thèmes IOSRS;
  • Approche de mise en œuvre du projet
  • les extrants et les résultats attendus et le suivi et l’évaluation au niveau du projet;
  • l’égalité des genres, l’inclusivité et les considérations éthiques;
  • les risques et les mesures d’atténuation (ces renseignements peuvent être présentés dans un tableau répertoriant les principaux risques associés au projet; la mise en œuvre, ainsi que leur probabilité et impact et les mesures de gestion potentielles);
  • profil(s) organisationnel(s) et personnel clé du projet;
  • de brèves données biographiques des principaux membres de l’équipe de projet du projet (en annexe).

8. Exigences de l’équipe de projet

Les exigences pour les membres de l’équipe de projet comprennent :

  • connaissance des systèmes nationaux de science, de technologie et d’innovation en Afrique, y compris le financement de la recherche et les acteurs clés (organisations), les politiques et les rôles des organismes subventionnaires de la recherche scientifique dans la médiation, la facilitation et la coordination des interactions entre les différents acteurs; expérience de travail avec les organismes subventionnaires de la recherche scientifique de l’Afrique, en particulier dans le contexte de la recherche et du renforcement des capacités;
  • expérience de la gestion de fonds et de programmes de recherche, des méthodologies de recherche et du suivi de projets;
  • expérience de la synthèse des résultats de la recherche et du développement des connaissances, notamment des articles de revues, des rapports, des livres et des notes d’orientation;
  • capacité de travailler en anglais et en français. Les soumissions ne possédant pas les deux capacités linguistiques ne seront pas évaluées. La capacité à travailler en portugais sera un atout supplémentaire.

9. Critères d’évaluation

Les propositions seront examinées par l’équipe de gestion de l’IOSRS et notées sur une échelle de 50 points comme indiqué ci-dessous :

  • Expertise et expérience pratique des membres de l’équipe du projet dans les partenariats public-privé pour la recherche et l’innovation et la commercialisation des résultats de la recherche, l’acquisition de droits de propriété intellectuelle et d’autres domaines couverts par le projet (11 points)
  • Originalité, créativité et clarté de la proposition, démontrant une connaissance des travaux de l’IOSRS, une expérience de travail avec des organismes subventionnaires de la recherche scientifique en Afrique subsaharienne, une compréhension claire de l’ambition du projet et du rôle des organismes subventionnaires de la recherche scientifique dans le contexte des systèmes scientifiques nationaux. Une articulation claire de la manière dont le projet s’appuie sur et renforce le travail de l’IOSRS sur les partenariats public-privé et les liens avec les efforts connexes (13 points)
  • Clarté et solidité de l’approche du projet en matière de formation et de soutien technique, y compris la pertinence pour les conseils d’Afrique subsaharienne, les principes d’optimisation des ressources et les conditions créées par la pandémie de COVID-19 et l’alignement avec l’approche de mise en œuvre collaborative de l’IOSRS (13 points)
  • Clarté et justification du budget et de son alignement avec les activités du projet proposé (6 points)
  • Niveau de la présence des membres de l’équipe projet en Afrique subsaharienne (7 points)

10. À propos des partenaires financiers

Le Foreign, Commonwealth and Development Office (en anglais) est un département gouvernemental du Royaume-Uni qui poursuit les intérêts nationaux et projette le Royaume-Uni comme une force pour le bien dans le monde. Il promeut les intérêts des citoyens britanniques, protège la sécurité du Royaume‑Uni, défend ses valeurs, réduit la pauvreté et relève les défis mondiaux avec des partenaires internationaux.

Le Centre de recherches pour le développement international est une société d’État canadienne qui appuie la génération de connaissances et l’innovation pour un changement positif. Il génère, identifie et teste des idées et des innovations évolutives; relie les solutions aux acteurs qui peuvent aider à obtenir un impact à grande échelle; et examine les premiers gains dans la mise à l’échelle pour identifier et partager les facteurs de réussite essentiels.

L’Agence norvégienne de coopération au développement (en anglais) est une direction du ministère norvégien des Affaires étrangères. Son objectif principal est de travailler à la réalisation des objectifs de développement durable. Norad a cinq priorités principales : investir plus stratégiquement; être un partenaire clé du développement durable; contribuer à un monde plus vert; être un champion de l’innovation au sein de la coopération au développement; renforcer et systématiser le développement, le partage et l’utilisation des connaissances au sein de l’agence.

La National Research Foundation (en anglais) de l’Afrique du Sud est une agence de recherche et de développement scientifique mandatée par le gouvernement. Son objectif est de créer des instruments de financement innovants, de faire progresser le développement des carrières en recherche, d’accroître l’engagement scientifique du public et d’établir des plateformes de recherche de pointe qui transformeront le paysage scientifique et inspireront une communauté de recherche représentative qui aspire à la compétitivité mondiale.

La Fondation allemande pour la recherche (en anglais) est l’organisation autonome pour la science et la recherche en Allemagne. Il sert toutes les branches de la science et des sciences humaines. Sur le plan organisationnel, il s’agit d’une association de droit privé. Ses membres se composent d’universités de recherche allemandes, d’instituts de recherche non universitaires, d’associations scientifiques et des Académies des sciences et des sciences humaines.