Youth and strategies for resilience to violence and criminality in West Africa
Programs and partnerships
Lead institution(s)
Summary
The overall objective of this project is to help break the cycle of violence and youth crime by developing a better understanding of the contributing factors to violence and the resilience strategies of youth and their communities in West Africa, particularly in Burkina Faso and in Senegal.
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The overall objective of this project is to help break the cycle of violence and youth crime by developing a better understanding of the contributing factors to violence and the resilience strategies of youth and their communities in West Africa, particularly in Burkina Faso and in Senegal.
The project aims to establish a better understanding of the factors that lead most young people to resist violence and crime in Burkina Faso and in Senegal. With a better understanding of resilience strategies against violence and crime, the project suggests recommendations and practical solutions to better prevent violence and crime among young people in these countries that could be used to inform public policy and security and pacification programs in Burkina Faso and Senegal.
Finally, the project contributes towards strengthening research and production of knowledge capacities for better policy formulation and violence prevention programs to address youth crime.
Research outputs
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L’éthique doit guider le comportement de tous les individus qui participent à la planification, à la conduite et à la promotion de la recherche à laquelle se prêtent des êtres humains. Toutefois, les facteurs qui handicapent l’idéal de la rigueur scientifique reposant sur l’éthique sont multiples. D’abord, il existe des limites à ce qui peut être entrepris comme recherches avec des groupes humains. Ainsi, il n’est pas pensable de ne nuire d’aucune manière à des êtres humains, ni même les tromper. Ensuite, il y a le fait que l’être humain est sans doute l’objet le plus complexe de la nature, et donc celui dont l’étude est la plus difficile. En outre, il faut considérer le fait que les êtres humains ne sont pas transparents et qu’on ne peut étudier leurs pensées intimes, d’autant qu’ils attribuent souvent des significations à leurs actes différents de celles que les scientifiques peuvent proposer. L’ultime difficulté est que les chercheurs eux-mêmes sont humains, et ont par conséquent des intérêts et des partis pris liés à leur objet d’étude, ce qui fait qu’il est parfois difficile de garder la distance, la neutralité et l’objectivité nécessaires en bien des circonstances.
